
Un des bailleurs lui a alors avoué qu'il préférait les «Müller» aux prénoms qui finissent en «-ic». Un autre lui a dit qu'il avait eu beaucoup de problèmes avec des «locataires du genre». Pour Nikola, ces affirmations sont incompréhensibles. «Mon nom me pose beaucoup de problèmes. Pourtant, je suis né en Suisse, j'ai fait mon service militaire, j'ai un passeport suisse et ma langue maternelle est le suisse allemand», s'énerve-t-il. Comme ses recherches sont restées vaines, le Bâlois a même hésité à changer son nom de famille.
Au final, c'est son nouveau patron qui lui a permis d'obtenir enfin un appartement. Un seul coup de fil du chef a suffi.
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