
Il est important que les hausses soient générales, a souligné lundi la faîtière des syndicats. Les augmentations individuelles ont profité uniquement aux revenus élevés, déplore-t-elle. Seul le retour à des augmentations générales peut corriger l'évolution néfaste des dernières années, note le président de l'USS Paul Rechsteiner.
Selon Daniel Lampart, chef économiste de l'USS, il y a suffisamment d'argent pour des hausses salariales. «La productivité du travail a considérablement augmenté», relève-t-il. A titre de comparaison, Travail.Suisse exige des hausses de salaires de 1 à 2,5% pour l'an prochain.
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