
760 francs de bénéfice
Les recherches du journal ont démontré que le propriétaire du garage sous-loue cette «habitation» à une tierce personne. Contactée, celle-ci se défend: «Je ne l'oblige pas à vivre ici. Il peut partir quand il veut. S'il libère le garage, je pourrais même y installer deux lits pour y loger des requérants d'asile.» Le bailleur révèle également qu'il ne paie que 80 francs par mois au propriétaire du garage. Chaque mois, ce Zougois se fait donc 760 francs sur le dos de Franz et surtout de l'aide sociale.
Il n'est pas flexible
Thomas Bonati, directeur du service social du canton, affirme ne être au courant de cette histoire. «Nous allons nous occuper de cette personnes dès qu'un appartement convenable se libère.» Il souligne néanmoins: «C'est vrai que la situation immobilière est asez difficile. Mais la personne en question est assez exigente en matière de place et ne fait pas preuve d'une grande flexibilité. C'est ce qu'on a pu constater lorsque nous avons essayer de lui proposer des alternatives.»
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