
La militante zurichoise s'était servie de feux d'artifice pour en faire des explosifs. Elle avait visé deux bâtiments en ville de Zurich, le consulat espagnol et un immeuble abritant des locaux de police.
Andrea Stauffacher a aussi fait recours en mars dernier auprès de la Cour européenne des droits de l'homme de Strasbourg. Son avocat soutient que les preuves contre sa cliente sont inutilisables.
La militante anarchiste avait été condamnée à cause de traces ADN retrouvées sur les objets utilisés lors des attentats. Ces traces correspondaient à son profil ADN établi en 2002. Le recours à Strasbourg n'a pas d'effet suspensif, c'est pourquoi Andrea Stauffacher a dû commencer à purger sa peine.
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