
Les importantes chutes de neige et les dangers liés à la formation de glace sont les principales raisons de ces retards, a expliqué au journal dominical Christian Wehrle, porte-parole des CFF. La mauvaise humeur des passagers en retard s'est exprimée avant tout dans les réseaux sociaux et c'est une avalanche de protestations des pendulaires qui a envahi le site de Twitter. Les CFF ont ainsi recensé plus de 300 «tweets» rageurs durant la journée de jeudi dernier.
Il est clair que pour les CFF «le média social est très important et nous allons encore développer ce domaine», a souligné Christian Wehrle. «Nous avons eu de très bons retours de tweets et de commentaires après nos réponses rapides et sans formalités», a-t-il constaté. Toutefois, les CFF ne sont pas encore présents 24 heures sur 24 sur les réseaux sociaux comme l'est, par exemple, la compagnie aérienne Swiss.
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