
Dans un cas, l’enclos des moutons attaqués n’était pas correctement clôturé, écrit vendredi l’OFEV. Dans l’autre cas, les animaux paissaient sans surveillance depuis plusieurs jours sur un pâturage boisé impossible à protéger.
Dans ce type de situations, le «plan loup» de la Confédération n’autorise pas le tir d’un animal. Selon ce concept, le prédateur peut être abattu s’il a dévoré au moins 35 animaux de rente pendant quatre mois consécutifs ou au moins 25 en un mois, pour autant que toutes les mesures de prévention raisonnables aient été prises. (ats/Newsnet)
Créé: 14.06.2013, 14h35
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